Mardi 23 février 2010 Je présente le film Serbis au ciné-club. Après avoir décrit le quotidien des classes les plus pauvres aux Philippines ( Le masseur, John John, Tirador ), Brillante Mendoza montre des classes plus aisées ( la famille Pineda a possédé trois cinémas ) mais qui s'enlisent, peu à peu, dans la pauvreté, elles aussi. Alors ils perdent de vue la morale de leurs actes ( trahisons familiales, oubli des règles de vie en société,... ). Mais qu'est-ce que la moralité et la légalité dans une société où la lutte pour la survie est un combat permanent ? Le film est aussi une réflexion sur l'économie matérielle du cinéma: la pellicule ( le générique de début et la fin du film ), le projecteur, le transport des copies, la publicité... Une oeuvre aux multiples facettes. Un excellent film. Tuesday February 23 I introduce the film Serbis in my film society.
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